Je n'ai pas beaucoup écrit à Curacao. Pas assez de solitudes. J'ai laissé filer mes matériaux en espérant me souvenir de tout ce qui a été dit sur les locaux, sur la vie d'expatrié dans une île colonisée, sur les yeux jaloux qu'il faut conjurer, sans sacrifier l'envie que vous insufflez aux voisins et amis... Alors je montre quelques clichés en attendant que les mots remontent
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