Ce n'est pas le ressac des vagues et puis rien. Les sirènes des bateaux qui signalent leur mouvement à l'entrée du port. Des moteurs de voiture qui font résonner leur vieillesse dans les rues étroites. Les klaxons, pour prendre une priorité, pour le passant, oupr vous saluer. des voix graves qui s'hurlent leur vie d'une maison à l'autre. La criée des pêcheurs et des vendeurs du marché. Les sifflements. Les couples qui s'engueulent. Et même la nuit quand tous les bruits s'apèsent, les oiseaux, les batraciens, recouvrent le silence de leurs jacasseries.
Avec tout ce bruit, peut-être qu'on oublie l'isolement. J'aime celui de la nuit. Celui du jour est plus stressant qu'une journée à New York.
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