mercredi 22 avril 2009

C'est la faute à l'ennui...

C'est comme une évidence qui me tombe sur la tête pendant que je patauge dans mon bain. Ce n'est la pas tellement la condition économique qu'ils fuient, bien sûr qu'elle est bien meilleure que sur les autres îles et même parfois qu'aux États-Unis. C'est l'asphixie morale et intellectuelle qui plane sur eux. Si je repasse la bande en arrière des plaintes adressées, je confirme mon point.

"Pour les candidats à l'exil, il semble que l'ennui puisse être aussi mortel que les requins du détroit de Floride."
Olivier Languepin. Cuba. La faillite d'une utopie. p. 224.

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