Des gens qu’on aurait à peine supporté quelques minutes dans notre quotidien. On les prend parce qu'ils permettent de nous sentir moins vulnérables, et tant pis s’ils nous emmerdent un peu. Et puis tant mieux finalement, on bouscule nos idées. Et on tolère, oui, j’ose utiliser ce mot, on tolère des divergences de pensée, car elles comptent moins que d'autres choses ici. Parfois, la bonté suffit à faire un bon compagnon. On s’attache à une certaine humanité, peu importe les idées qui l’enrobe.
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